17 mars 2011
Isothe... (fafner soulkid)
Et susure à son oreille ces mots qui, d'apparence étrangement affables, indisposent la créature, annoncent sa réalité.
Mortelle chair inutile, cette beautée qui est tienne n'existe plus, le temps déjà te la vole, ainsi donc, deviens le rien.
Et pour seul compagnon, infortune grandissante, ton esprit seul à présent, pour toujours se rappelant ces paroles.
Oh vile douceur.
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